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À la recherche du satyre de Gray
Un homme s'étant exhibé sur la plage de Gray devant trois jeunes filles, dont deux mineures, a été condamné hier à un an de prison. Il n'était pas présent à son audience, et est actuellement recherché par la police afin de purger sa peine.
En mai dernier, deux adolescentes de 11 et 13 ans ont vu un homme nu en train de se masturber sur le lieu dit de la plage, en plein centre de Gray. Très choquées, elles ont prévenu leur accompagnatrice, une jeune femme de 23 ans, qui a alerté la police.
L'homme a tenté de s'enfuir en traversant un buisson de ronces, mais il a été interpellé par les agents. Il a par la suite nié les faits dont on l'accusait.
Cet exhibitionniste de 40 ans était absent à son audience, qui s'est déroulée hier à Vesoul. Pour le tribunal, sa culpabilité ne fait toutefois aucun doute : l'homme a déjà été condamné deux fois pour des faits d'exhibition sexuelle.
Jugeant le "risque de réitération" réel, le juge a opté pour une peine d'un an de prison ferme, avec mandat d'arrêt. Il a également révoqué une peine d'un an avec sursis prononcée en septembre dernier pour une affaire similaire.
Le "satyre de Gray", ainsi qu'il est à présent surnommé, est donc à présent recherché afin de purger une peine totale de 2 ans de prison. Au grand soulagement des familles et des vacanciers qui fréquentent la plage grayloise.
R. Hingray
En mai dernier, deux adolescentes de 11 et 13 ans ont vu un homme nu en train de se masturber sur le lieu dit de la plage, en plein centre de Gray. Très choquées, elles ont prévenu leur accompagnatrice, une jeune femme de 23 ans, qui a alerté la police.
L'homme a tenté de s'enfuir en traversant un buisson de ronces, mais il a été interpellé par les agents. Il a par la suite nié les faits dont on l'accusait.
Cet exhibitionniste de 40 ans était absent à son audience, qui s'est déroulée hier à Vesoul. Pour le tribunal, sa culpabilité ne fait toutefois aucun doute : l'homme a déjà été condamné deux fois pour des faits d'exhibition sexuelle.
Jugeant le "risque de réitération" réel, le juge a opté pour une peine d'un an de prison ferme, avec mandat d'arrêt. Il a également révoqué une peine d'un an avec sursis prononcée en septembre dernier pour une affaire similaire.
Le "satyre de Gray", ainsi qu'il est à présent surnommé, est donc à présent recherché afin de purger une peine totale de 2 ans de prison. Au grand soulagement des familles et des vacanciers qui fréquentent la plage grayloise.
R. Hingray
Publié le vendredi 6 juillet 2012 à 16h57