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Besançon : Braquage haut en couleur
Après l'épisode de la semaine dernière, on pourrait croire à une mauvaise blague. Mais il n'en est rien. Ce matin dans le quartier Planoise à Besançon, c'est bien vêtu d'une tenue blanche de peintre qu'un braqueur s'est attaqué à un bureau de poste… de la rue Picasso. Sa manière à lui de revendiquer la noblesse de son hobby ? Allez savoir ! Le fait est qu'il n'aura pas vraiment été au sommet de son art…
Et pourtant, ce n'est pas faute d'avoir soigné son entrée ! Là où ses confrères auraient en effet été d'avis de passer par la porte, notre homme, par ailleurs affublé d'un casque de chantier et d'un sac rouge, aura pour sa part préféré la fenêtre.
La suite, plus convenue en revanche, aura consisté à quémander arme à la main le contenu du coffre auprès d'un employé de l'établissement. Une menace accompagnée d'un coup de crosse sur la tête (comprenez donc qu'il s'agissait d'un pistolet et non d'un pinceau) qui aura contraint la victime à saisir une fausse combinaison pour déclencher l'alarme.
Averti du danger, l'agresseur n'aura pas tardé à prendre la fuite les mains vides… mais en empruntant cette fois-ci la porte d'accès du personnel.
On dira ce que l'on veut, mais pour un chantre de la discipline, un tel échec fait quand même tache.
C.R
Et pourtant, ce n'est pas faute d'avoir soigné son entrée ! Là où ses confrères auraient en effet été d'avis de passer par la porte, notre homme, par ailleurs affublé d'un casque de chantier et d'un sac rouge, aura pour sa part préféré la fenêtre.
La suite, plus convenue en revanche, aura consisté à quémander arme à la main le contenu du coffre auprès d'un employé de l'établissement. Une menace accompagnée d'un coup de crosse sur la tête (comprenez donc qu'il s'agissait d'un pistolet et non d'un pinceau) qui aura contraint la victime à saisir une fausse combinaison pour déclencher l'alarme.
Averti du danger, l'agresseur n'aura pas tardé à prendre la fuite les mains vides… mais en empruntant cette fois-ci la porte d'accès du personnel.
On dira ce que l'on veut, mais pour un chantre de la discipline, un tel échec fait quand même tache.
C.R
Publié le jeudi 6 juin 2013 à 16h02