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Casse-toi pov'con! Le jeu
Martin Vidberg est instituteur dans le Doubs. Il est également connu pour ses dessins et ses personnages en forme de patates régulièrement publié sur Le Monde.fr . Et depuis le 16 juin 2011 il crée le buzz avec son jeu au titre légèrement provocateur : "Casse-toi pov'con!".
Martin Vidberg ne s'est chargé que de la partie graphique de ce petit jeu de cartes tiré à 8 000 exemplaires, et en cours de réimpression. La conception a quant à elle été confiée à un créateur dijonnais, Ludovic Maublanc.
À eux deux, ces hommes qui n'ont pas l'humour dans la poche ont créé un jeu inspiré de la campagne électorale aux présidentielles 2012. Les personnages s'appellent Nicolas, Eva, Ségolène ou Dominique (toute ressemblance avec des personnages existants, etc...).
Le but du jeu : se faire élire en éliminant tous les autres bien sûr!
Avec un tel titre et des illustrations dans lesquelles on reconnait quelques personnages clefs de la scène politique actuelle, ce jeu ne pouvait manquer de rencontrer le succès.
Il risquait également de vexer les principaux intéressés, qui ont bien involontairement inspiré les créateurs du jeu. Pour l'instant toutefois, l'Élysée n'a encore fait aucun commentaire sur le sujet. Qui ne dit mot, consent?
R. Hingray
Martin Vidberg ne s'est chargé que de la partie graphique de ce petit jeu de cartes tiré à 8 000 exemplaires, et en cours de réimpression. La conception a quant à elle été confiée à un créateur dijonnais, Ludovic Maublanc.
À eux deux, ces hommes qui n'ont pas l'humour dans la poche ont créé un jeu inspiré de la campagne électorale aux présidentielles 2012. Les personnages s'appellent Nicolas, Eva, Ségolène ou Dominique (toute ressemblance avec des personnages existants, etc...).
Le but du jeu : se faire élire en éliminant tous les autres bien sûr!
Avec un tel titre et des illustrations dans lesquelles on reconnait quelques personnages clefs de la scène politique actuelle, ce jeu ne pouvait manquer de rencontrer le succès.
Il risquait également de vexer les principaux intéressés, qui ont bien involontairement inspiré les créateurs du jeu. Pour l'instant toutefois, l'Élysée n'a encore fait aucun commentaire sur le sujet. Qui ne dit mot, consent?
R. Hingray
Publié le jeudi 30 juin 2011 à 16h21