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Des manifestants pro-ZAD dégradent le petit train de la Citadelle
Drôle de journée que ce dimanche 22 avril 2018 à Besançon. Avec une belle matinée ensoleillée, les Bisontins ont pu sortir leurs vêtements d'été des dressings et profiter des premières chaleurs.
Ils sont ainsi nombreux à avoir décidés de profiter des espaces verts et du centre-ville.
Mais, c'est aussi le jour choisi par un groupe de gens solidaires de la Zad (« Zone d'aménagement différé ») de Notre-Dame-des-Landes pour faire parler d'eux.
Le petit groupe d'une soixantaine de personnes a donc défilé dans un calme relatif dans Besançon ce dimanche après-midi.
Le but étant d'afficher leur soutien aux « zadistes » évacués récemment, à l'autre bout de la France.
Une manifestation qui aurait pu se dérouler sous de meilleurs auspices si quelques manifestants n'avaient pas décidé de s'en prendre au petit train de la Citadelle !
L'Est Républicain rapporte que les manifestants ont commencé à donner des coups de pied dans le train.
Ensuite, ils ont entrepris de le redécorer en taguant le message « ZAD Partout » sur certains wagons.
Des dégradations assez puériles qui pourraient coûter quelques centaines d'euros à effacer.
Ils sont ainsi nombreux à avoir décidés de profiter des espaces verts et du centre-ville.
Mais, c'est aussi le jour choisi par un groupe de gens solidaires de la Zad (« Zone d'aménagement différé ») de Notre-Dame-des-Landes pour faire parler d'eux.
Le petit groupe d'une soixantaine de personnes a donc défilé dans un calme relatif dans Besançon ce dimanche après-midi.
Le but étant d'afficher leur soutien aux « zadistes » évacués récemment, à l'autre bout de la France.
Une manifestation qui aurait pu se dérouler sous de meilleurs auspices si quelques manifestants n'avaient pas décidé de s'en prendre au petit train de la Citadelle !
L'Est Républicain rapporte que les manifestants ont commencé à donner des coups de pied dans le train.
Ensuite, ils ont entrepris de le redécorer en taguant le message « ZAD Partout » sur certains wagons.
Des dégradations assez puériles qui pourraient coûter quelques centaines d'euros à effacer.
Publié le lundi 23 avril 2018 à 09h05