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Des vers dans l'assiette des enfants en Haute-Saône
Deux restaurants scolaires de Haute-Saône ont eu la mauvaise surprise jeudi dernier de découvrir des vers dans le blé servi aux enfants.
Les cantines de Villers-le-Sec et Echenoz-la-Méline, qui accueillent au total une centaine d'enfants, se font livrer les repas par un boucher-traiteur de Vesoul. Ce n'est donc qu'au moment du service que les employés ont découvert "des petits asticots" dans le blé.
Ils ont immédiatement interrompu les repas et prévenu le traiteur, qui a fourni gratuitement un repas de substitution.
Les vers, cuits plusieurs fois selon la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations, ne présentaient aucun danger pour les enfants. Aucune enquête ne sera d'ailleurs menée à ce sujet.
Ce qui n'empêche pas de se demander comment et pourquoi des asticots se sont retrouvés dans les assiettes? Une question qui ne trouvera probablement jamais de réponse, puisque le boucher qui a préparé les repas, le grossiste qui a fourni le blé, et le fabricant de ce dernier (la marque Ebly en l'occurence), s'accusent les uns les autres...
R. Hingray
Les cantines de Villers-le-Sec et Echenoz-la-Méline, qui accueillent au total une centaine d'enfants, se font livrer les repas par un boucher-traiteur de Vesoul. Ce n'est donc qu'au moment du service que les employés ont découvert "des petits asticots" dans le blé.
Ils ont immédiatement interrompu les repas et prévenu le traiteur, qui a fourni gratuitement un repas de substitution.
Les vers, cuits plusieurs fois selon la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations, ne présentaient aucun danger pour les enfants. Aucune enquête ne sera d'ailleurs menée à ce sujet.
Ce qui n'empêche pas de se demander comment et pourquoi des asticots se sont retrouvés dans les assiettes? Une question qui ne trouvera probablement jamais de réponse, puisque le boucher qui a préparé les repas, le grossiste qui a fourni le blé, et le fabricant de ce dernier (la marque Ebly en l'occurence), s'accusent les uns les autres...
R. Hingray
Publié le jeudi 3 février 2011 à 17h54