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Employeur violent mais absent
Le procès qui a eu lieu hier au tribunal correctionnel de Montbéliard est celui-ci d'une histoire floue, qui varie au gré des témoignages et des interrogations.
La victime est un homme de 29 ans, frappé avec violence et notamment au visage, alors qu'il venait réclamer son dû à son patron. Selon le jeune homme, il aurait été invité par son employeur à passer chez lui afin de régler des problèmes financiers, et se serait fait frapper par les nombreuses personnes présentes. Lesquelles affirment s'être fait insulter par le visiteur, qui nie cette version des faits.
Au moment où la victime quittait les lieux, elle aurait été rattrapée à l'extérieur, à nouveau frappée, serait tombée à terre et aurait été rouée de coups. C'est une femme témoin de la scène qui serait intervenue afin de faire cesser cette violence.
Au vu des blessures, le médecin a confirmé cette version.
Toutefois selon les témoignages les personnes présentes ne sont pas toujours les mêmes, et le déroulement des faits n'a pu être reconstitué avec précision. Mais ni cette imprécision, ni l'absence du prévenu n'a empêché le tribunal de condamner le coupable à un an de prison ferme et au dédommagement des frais de justice de la victime.
Cela confirme le proverbe, les absents ont toujours tort.
La victime est un homme de 29 ans, frappé avec violence et notamment au visage, alors qu'il venait réclamer son dû à son patron. Selon le jeune homme, il aurait été invité par son employeur à passer chez lui afin de régler des problèmes financiers, et se serait fait frapper par les nombreuses personnes présentes. Lesquelles affirment s'être fait insulter par le visiteur, qui nie cette version des faits.
Au moment où la victime quittait les lieux, elle aurait été rattrapée à l'extérieur, à nouveau frappée, serait tombée à terre et aurait été rouée de coups. C'est une femme témoin de la scène qui serait intervenue afin de faire cesser cette violence.
Au vu des blessures, le médecin a confirmé cette version.
Toutefois selon les témoignages les personnes présentes ne sont pas toujours les mêmes, et le déroulement des faits n'a pu être reconstitué avec précision. Mais ni cette imprécision, ni l'absence du prévenu n'a empêché le tribunal de condamner le coupable à un an de prison ferme et au dédommagement des frais de justice de la victime.
Cela confirme le proverbe, les absents ont toujours tort.
Publié le mardi 24 février 2009 à 09h50