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Beure (25) : En dépit des apparences
Il y a des jours avec et des jours sans. Et autant dire qu'hier, ce n'était pas vraiment le jour à venir chatouiller ce sexagénaire lunatique, résidant villa Saint-Charles à Beure, près de Besançon.
Dépêchés sur place en fin de matinée par le père de ce dernier, plus qu'inquiet de ne pouvoir joindre son fiston depuis l'avant-veille, les pompiers auront été à même de la constater par eux-mêmes.
Car en effet, le 1er mai a beau célébrer le muguet, l'individu ne les accueillera pas autrement qu'avec la ferme intention de les envoyer sur les roses.
Armé pour cela d'un couteau de cuisine de 30 cm, il parvenait sans peine à écourter la visite improvisée des secouristes qui se décidaient alors de faire appel aux forces de l'ordre pour le raisonner.
Le temps qu'un périmètre de surveillance soit établi autour de l'immeuble, la responsabilité de déloger le rustre personnage était donc laissée à un négociateur de la brigade de gendarmerie de Salins-les-Bains, lequel, accompagné d'une équipe du PSIG, parvenait à ses fins dans la non-violence deux heures après le début des opérations.
Aussitôt conduit en garde à vue et auditionné, l'homme ne se révèlera non seulement d'humeur changeante mais aussi de mauvaise foi. Les pompiers ? Jamais il ne les a menacés ! S'il avait un couteau à la main, c'est uniquement parce qu'il faisait sa vaisselle…
C.R
Dépêchés sur place en fin de matinée par le père de ce dernier, plus qu'inquiet de ne pouvoir joindre son fiston depuis l'avant-veille, les pompiers auront été à même de la constater par eux-mêmes.
Car en effet, le 1er mai a beau célébrer le muguet, l'individu ne les accueillera pas autrement qu'avec la ferme intention de les envoyer sur les roses.
Armé pour cela d'un couteau de cuisine de 30 cm, il parvenait sans peine à écourter la visite improvisée des secouristes qui se décidaient alors de faire appel aux forces de l'ordre pour le raisonner.
Le temps qu'un périmètre de surveillance soit établi autour de l'immeuble, la responsabilité de déloger le rustre personnage était donc laissée à un négociateur de la brigade de gendarmerie de Salins-les-Bains, lequel, accompagné d'une équipe du PSIG, parvenait à ses fins dans la non-violence deux heures après le début des opérations.
Aussitôt conduit en garde à vue et auditionné, l'homme ne se révèlera non seulement d'humeur changeante mais aussi de mauvaise foi. Les pompiers ? Jamais il ne les a menacés ! S'il avait un couteau à la main, c'est uniquement parce qu'il faisait sa vaisselle…
C.R
Publié le jeudi 2 mai 2013 à 10h36