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Etouvans (25) : En toute inimitié (MàJ)
A quoi dit-on déjà que l'on reconnaît généralement ses vrais copains ? Ah oui ! A leur présence à nos côtés en toutes circonstances, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Une définition qui parfois peut malgré tout s'avérer trompeuse… à l'exemple de ce qui s'était passé le 10 janvier 2012 à Etouvans, où un adolescent de 14 ans avait été assassiné selon toute vraisemblance par un "ami"...
Ce jour-là en fin d'après-midi, c'est pour parler mécanique que ce dernier, alors âgé de 17 ans, avait en tout cas donné rendez-vous par SMS à sa victime présumée, dont le corps avait été découvert le lendemain près d'un sentier, frappé de plusieurs coups de couteau et en partie calciné.
Pour quel mobile ? Une jalousie excessive d'après les enquêteurs, qui avaient retrouvé dans la foulée la moto du jeune adolescent au domicile du meurtrier supposé. Lequel, après avoir reconnu sa présence sur les lieux du crime au moment des faits, avait clamé son innocence en dénonçant des complices, mais sans plus convaincre le parquet.
Ainsi placé depuis en détention provisoire, il sera donc seul à comparaître cette semaine à Besançon devant les assises du Doubs, où s'est ouvert ce lundi son procès pour meurtre avec préméditation... lui qui la veille de ce macabre fait divers s'était effectivement renseigné sur Internet, pour savoir comment frapper quelqu'un à la carotide et faire disparaître un corps.
Mise à jour 20/06 : Au terme d'une audience de 5 jours à huis clos, l'accusé a été reconnu coupable et condamné à une peine de 22 années de réclusion criminelle.
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Ce jour-là en fin d'après-midi, c'est pour parler mécanique que ce dernier, alors âgé de 17 ans, avait en tout cas donné rendez-vous par SMS à sa victime présumée, dont le corps avait été découvert le lendemain près d'un sentier, frappé de plusieurs coups de couteau et en partie calciné.
Pour quel mobile ? Une jalousie excessive d'après les enquêteurs, qui avaient retrouvé dans la foulée la moto du jeune adolescent au domicile du meurtrier supposé. Lequel, après avoir reconnu sa présence sur les lieux du crime au moment des faits, avait clamé son innocence en dénonçant des complices, mais sans plus convaincre le parquet.
Ainsi placé depuis en détention provisoire, il sera donc seul à comparaître cette semaine à Besançon devant les assises du Doubs, où s'est ouvert ce lundi son procès pour meurtre avec préméditation... lui qui la veille de ce macabre fait divers s'était effectivement renseigné sur Internet, pour savoir comment frapper quelqu'un à la carotide et faire disparaître un corps.
Mise à jour 20/06 : Au terme d'une audience de 5 jours à huis clos, l'accusé a été reconnu coupable et condamné à une peine de 22 années de réclusion criminelle.
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Publié le lundi 16 juin 2014 à 12h12