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Besançon : Frappadingue
Comme si cet été de canicule ne suffisait pas déjà à nous assommer et nous filer la migraine, voilà désormais qu'on n'est pas plus à l'abri de recevoir à tout moment en pleine rue, un coup de marteau derrière la tête. Un douloureux constat qui s'est abattu par deux fois hier aux environs de 13h40 sur le crâne d'un homme de 50 ans, devant les clients d'un restaurant italien du centre-ville de Besançon. Vous reprendrez bien un peu de sang pour finir votre carpaccio ?
Appréhendé par un individu de 42 ans avec lequel il aura tout d'abord eu une altercation de nature plus conventionnelle, le malheureux bougre, frappé une première fois et tombé à terre, se sera ensuite relevé, moins sonné que passablement énervé, pour recevoir son second tampon… lequel ne lui aurait pas même suffi si des clients de l'établissement installés en terrasse n'étaient pas intervenus pour le maîtriser et repousser son assaillant à l'aide de chaises et de fourchettes.
Etrangement moins lucide que sa victime sans avoir vu les mêmes 36 chandelles, ce dernier se sera alors enfui en voiture avant d'être rattrapé par la réalité de son geste en se présentant de lui-même au commissariat de police.
D'après les premiers éléments de l'enquête, l'ingrédient déclencheur de ce déferlement de violence serait une rivalité amoureuse entre les deux hommes ; le plus jeune ayant plusieurs fois reproché à son ainé de tourner un peu trop près autour de sa chère et tendre compagne… laquelle n'est autre justement que l'ex petite-amie du quinquagénaire.
Un message que l'agresseur aura sans doute cherché à "marteler" plus symboliquement ce jour-là à l'ancien amant, en apprenant que celui-ci se rendait une fois encore au domicile de la belle… témoin privilégiée de cette joute sentimentale du haut de sa fenêtre, au n°4 de la rue de Pontarlier.
De là à ce que ça lui soit enfin rentré dans la caboche, rien n'est certain. Au vu de son état, jugé moins grave que prévu après son transfert au CHU, il aurait apparemment la tête dure…
GéPé
Appréhendé par un individu de 42 ans avec lequel il aura tout d'abord eu une altercation de nature plus conventionnelle, le malheureux bougre, frappé une première fois et tombé à terre, se sera ensuite relevé, moins sonné que passablement énervé, pour recevoir son second tampon… lequel ne lui aurait pas même suffi si des clients de l'établissement installés en terrasse n'étaient pas intervenus pour le maîtriser et repousser son assaillant à l'aide de chaises et de fourchettes.
Etrangement moins lucide que sa victime sans avoir vu les mêmes 36 chandelles, ce dernier se sera alors enfui en voiture avant d'être rattrapé par la réalité de son geste en se présentant de lui-même au commissariat de police.
D'après les premiers éléments de l'enquête, l'ingrédient déclencheur de ce déferlement de violence serait une rivalité amoureuse entre les deux hommes ; le plus jeune ayant plusieurs fois reproché à son ainé de tourner un peu trop près autour de sa chère et tendre compagne… laquelle n'est autre justement que l'ex petite-amie du quinquagénaire.
Un message que l'agresseur aura sans doute cherché à "marteler" plus symboliquement ce jour-là à l'ancien amant, en apprenant que celui-ci se rendait une fois encore au domicile de la belle… témoin privilégiée de cette joute sentimentale du haut de sa fenêtre, au n°4 de la rue de Pontarlier.
De là à ce que ça lui soit enfin rentré dans la caboche, rien n'est certain. Au vu de son état, jugé moins grave que prévu après son transfert au CHU, il aurait apparemment la tête dure…
GéPé
Publié le mercredi 24 juillet 2013 à 10h17