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Franche-Comté / Suisse : Hôtel de charme
Si leur réouverture n'est clairement pas à l'ordre du jour en France, les maisons closes sont à l'inverse tout ce qu'il y a de plus légal et de réglementé en Suisse, où le simple aval de la police et des services cantonaux des arts et métiers suffit à leur érection, sans même avoir à consulter ou à informer les municipalités concernées.
Un "coup de pute" qui laisse très précisément sur le cul élus et administrés des communes voisines de Damphreux et de Lugnez, près du Territoire de Belfort, surpris d'apprendre la reconversion imminente de leur ancien hôtel-restaurant en une « maison de plaisir » (comme il se dit là-bas) autrement moins orientée bonne bouffe que bonne bourre.
Soit, autant le dire, une approche bien différente des "plaisirs de la chair" (sic) qui les refroidit plus qu'elle ne les émoustille, puisqu'une pétition a même été lancée pour s'opposer à l'ouverture du lupanar, prévue pour le mois prochain.
Bien que massivement signée par la centaine d'âmes habitant les deux communes, rien ne laisse pour l'heure présager l'impact de cette requête sur la réalisation du projet, qui, faute de séduire la population locale, n'aura à coup sûr pas grand mal à aguicher une clientèle Française déjà friande des services proposés depuis 2009 par l'établissement de Boncourt, à deux pas de la frontière avec le Territoire de Belfort.
Tourisme sexuel, mais tourisme quand même.
GéPé
Un "coup de pute" qui laisse très précisément sur le cul élus et administrés des communes voisines de Damphreux et de Lugnez, près du Territoire de Belfort, surpris d'apprendre la reconversion imminente de leur ancien hôtel-restaurant en une « maison de plaisir » (comme il se dit là-bas) autrement moins orientée bonne bouffe que bonne bourre.
Soit, autant le dire, une approche bien différente des "plaisirs de la chair" (sic) qui les refroidit plus qu'elle ne les émoustille, puisqu'une pétition a même été lancée pour s'opposer à l'ouverture du lupanar, prévue pour le mois prochain.
Bien que massivement signée par la centaine d'âmes habitant les deux communes, rien ne laisse pour l'heure présager l'impact de cette requête sur la réalisation du projet, qui, faute de séduire la population locale, n'aura à coup sûr pas grand mal à aguicher une clientèle Française déjà friande des services proposés depuis 2009 par l'établissement de Boncourt, à deux pas de la frontière avec le Territoire de Belfort.
Tourisme sexuel, mais tourisme quand même.
GéPé
Publié le jeudi 21 mars 2013 à 12h23