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Jalousie de compagnes
François Hollande a promis aux français le changement et si c'était sa compagne qui tenait parole à sa place ?
Une chose est certaine, nous avons dit au revoir à la première dame chanteuse et mannequin, experte en discours consensuels. Aujourd'hui, voici venue la « première petite amie » – comme la surnomment les américains – jalouse jusqu'au bout des ongles et professionnelle des tweets assassins.
Les faits : alors que François Hollande s'est officiellement engagé en faveur de son ex-compagne Ségolène Royal - en difficulté dans la bataille des législatives à La Rochelle - Valérie Trierweiler a préféré soutenir Olivier Falorni, le candidat socialiste dissident.
Une bombe lancée dans la matinée de mardi via un tweet des plus ravageurs : « Courage à Olivier Falorni qui n'a pas démérité, qui se bat aux côtés des rochelais depuis tant d'années dans un engagement désintéressé. » Valérie « Brutus » Trierweiler a-t-elle réfléchi aux conséquences avant de planter ce couteau dans le dos de son compagnon en pleine construction de son image présidentielle ?
C'est qu'« Avec Valérie, tout ce qui concerne Ségolène sort du domaine du rationnel. Il est quasi impossible d'aborder ce sujet devant elle, même sous un angle uniquement politique », explique un proche dans l'Express.
Même si la relation Hollande-Royal a pris fin il y a sept ans, la nouvelle compagne du président ne semble pas pouvoir contrôler son animosité envers cette Ex un peu trop voyante. Flashback sur les principaux antécédents belliqueux entre les deux femmes.
A la présidentielle de 2007, la journaliste toute récente compagne de Hollande choisit de s'abstenir plutôt que de voter Royal contre Sarkozy.
Le 6 mai dernier, le soir de la victoire socialiste, François Hollande salue ses soutiens. Il fait la bise à Ségolène Royal, en lui donnant une accolade. Valérie Trierweiler spectatrice de la scène murmure alors à l'oreille de son compagnon : "Embrasse-moi sur la bouche maintenant."
Neuf jours plus tard, la présidente du conseil régional de Poitou-Charentes fait une absence remarquée lors de la cérémonie d'investiture. La raison invoquée : les relations épineuses entre l'ex-compagne de François Hollande et la nouvelle…
Décidément, et pour paraphraser les propos de Arnaud Montebourg du temps où il était porte-parole de Ségolène, le principal défaut de Hollande, c'est ses compagnes !
T. Comtois
Une chose est certaine, nous avons dit au revoir à la première dame chanteuse et mannequin, experte en discours consensuels. Aujourd'hui, voici venue la « première petite amie » – comme la surnomment les américains – jalouse jusqu'au bout des ongles et professionnelle des tweets assassins.
Les faits : alors que François Hollande s'est officiellement engagé en faveur de son ex-compagne Ségolène Royal - en difficulté dans la bataille des législatives à La Rochelle - Valérie Trierweiler a préféré soutenir Olivier Falorni, le candidat socialiste dissident.
Une bombe lancée dans la matinée de mardi via un tweet des plus ravageurs : « Courage à Olivier Falorni qui n'a pas démérité, qui se bat aux côtés des rochelais depuis tant d'années dans un engagement désintéressé. » Valérie « Brutus » Trierweiler a-t-elle réfléchi aux conséquences avant de planter ce couteau dans le dos de son compagnon en pleine construction de son image présidentielle ?
C'est qu'« Avec Valérie, tout ce qui concerne Ségolène sort du domaine du rationnel. Il est quasi impossible d'aborder ce sujet devant elle, même sous un angle uniquement politique », explique un proche dans l'Express.
Même si la relation Hollande-Royal a pris fin il y a sept ans, la nouvelle compagne du président ne semble pas pouvoir contrôler son animosité envers cette Ex un peu trop voyante. Flashback sur les principaux antécédents belliqueux entre les deux femmes.
A la présidentielle de 2007, la journaliste toute récente compagne de Hollande choisit de s'abstenir plutôt que de voter Royal contre Sarkozy.
Le 6 mai dernier, le soir de la victoire socialiste, François Hollande salue ses soutiens. Il fait la bise à Ségolène Royal, en lui donnant une accolade. Valérie Trierweiler spectatrice de la scène murmure alors à l'oreille de son compagnon : "Embrasse-moi sur la bouche maintenant."
Neuf jours plus tard, la présidente du conseil régional de Poitou-Charentes fait une absence remarquée lors de la cérémonie d'investiture. La raison invoquée : les relations épineuses entre l'ex-compagne de François Hollande et la nouvelle…
Décidément, et pour paraphraser les propos de Arnaud Montebourg du temps où il était porte-parole de Ségolène, le principal défaut de Hollande, c'est ses compagnes !
T. Comtois
Publié le mercredi 13 juin 2012 à 16h01