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La police s'invite dans le nouveau squat de Besançon
Un huissier, des policiers, et des employés de la Ville de Besançon ont forcé mardi l'entrée d'un nouveau squat situé place Marulaz, à Besançon. Les occupants seront prochainement expulsés, et devront se présenter la semaine prochaine devant le tribunal.
Le squat "La Casa Marulaz" a ouvert au début du mois de septembre dans un ancien local syndical mis en vente et condamné en raison de sa vétusté.
Un lieu qui "n'était utile à personne sauf à la spéculation immobilière" selon les nouveaux occupants qui voulaient en faire une "maison où refaire le monde". Ils avaient l'intention d'accueillir les "curieux (et curieuses) d'alternatives concrètes comme à ceux (et celles) porteurs d'initiatives, qui ne trouvent aucun local pour les faire vivre".
Les services de la mairie ne l'entendaient toutefois pas de cette oreille...
Accompagnés par des policiers qui ont forcé la porte du squat, ils sont venus relever l'identité des trois occupants indésirables, qui seront convoqués mardi prochain devant le juge des référés.
Les squatteurs recevront par ailleurs très vite une mise en demeure de libérer les lieux, suivies de près par une procédure d'expulsion.
La soirée d'ouverture de la "Casa Marulaz" aurait dû avoir lieu demain à partir de 19h. Elle semble toutefois quelque peu compromise...
R. Hingray
Le squat "La Casa Marulaz" a ouvert au début du mois de septembre dans un ancien local syndical mis en vente et condamné en raison de sa vétusté.
Un lieu qui "n'était utile à personne sauf à la spéculation immobilière" selon les nouveaux occupants qui voulaient en faire une "maison où refaire le monde". Ils avaient l'intention d'accueillir les "curieux (et curieuses) d'alternatives concrètes comme à ceux (et celles) porteurs d'initiatives, qui ne trouvent aucun local pour les faire vivre".
Les services de la mairie ne l'entendaient toutefois pas de cette oreille...
Accompagnés par des policiers qui ont forcé la porte du squat, ils sont venus relever l'identité des trois occupants indésirables, qui seront convoqués mardi prochain devant le juge des référés.
Les squatteurs recevront par ailleurs très vite une mise en demeure de libérer les lieux, suivies de près par une procédure d'expulsion.
La soirée d'ouverture de la "Casa Marulaz" aurait dû avoir lieu demain à partir de 19h. Elle semble toutefois quelque peu compromise...
R. Hingray
Publié le jeudi 23 septembre 2010 à 14h54