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Le chamois fou fait des yeux doux aux internautes pour sauver sa vie
L'histoire du chamois violent de Besançon ne semble pas terminée.
Après l'agression sans mobile de deux personnes cet été (dont un joggeur méchamment encorné), les autorités, via la Direction départementale des territoires, ont décidé d'abattre cet animal pour éviter toute récidive.
Mais, c'était sans compter un soutien inattendu, celui d'internautes bisontins bien décidés à défendre l'animal sauvage.
Via des commentaires sur un post Facebook du journal Le Parisien, les avis et les idées fusent tel un think tank d'avant-garde.
L'objectif est de faire avancer les choses pour trouver une solution alternative. Ainsi, quelques propositions et idées pourraient faire du chemin et éveiller les consciences.
Chou présente les choses ainsi « Et si c'était un humain qui avait agressé ces deux joggeurs il n'aurait rien eu ».
Stéphane propose quant à lui de ne plus sortir de chez soi pour laisser vivre le chamois en paix : « L'animal est chez lui , il défend son territoire .Les joggeurs n'avaient qu'à courir autre part ».
Brice souhaite aller plus loin encore : « Si nous abattons chaque humain qui agresse un animal le problème de surpopulation est réglé ».
Il serait aussi possible, d'après ce reportage, de dresser un aigle pour emporter le chamois loin de Besançon :
Beaucoup d'idées donc, mais peu de solutions viables.
Mais, avec ces centaines de soutiens et une mobilisation en progression constante, le chamois aura peut-être sa vie épargnée.
En attendant, le louvetier mandaté par la Direction départementale des territoires traque la bête sauvage pour l'abattre.
Vous pouvez consulter l'ensemble de la discussion Facebook ci-dessous :
Après l'agression sans mobile de deux personnes cet été (dont un joggeur méchamment encorné), les autorités, via la Direction départementale des territoires, ont décidé d'abattre cet animal pour éviter toute récidive.
Mais, c'était sans compter un soutien inattendu, celui d'internautes bisontins bien décidés à défendre l'animal sauvage.
Via des commentaires sur un post Facebook du journal Le Parisien, les avis et les idées fusent tel un think tank d'avant-garde.
L'objectif est de faire avancer les choses pour trouver une solution alternative. Ainsi, quelques propositions et idées pourraient faire du chemin et éveiller les consciences.
Chou présente les choses ainsi « Et si c'était un humain qui avait agressé ces deux joggeurs il n'aurait rien eu ».
Stéphane propose quant à lui de ne plus sortir de chez soi pour laisser vivre le chamois en paix : « L'animal est chez lui , il défend son territoire .Les joggeurs n'avaient qu'à courir autre part ».
Brice souhaite aller plus loin encore : « Si nous abattons chaque humain qui agresse un animal le problème de surpopulation est réglé ».
Il serait aussi possible, d'après ce reportage, de dresser un aigle pour emporter le chamois loin de Besançon :
Beaucoup d'idées donc, mais peu de solutions viables.
Mais, avec ces centaines de soutiens et une mobilisation en progression constante, le chamois aura peut-être sa vie épargnée.
En attendant, le louvetier mandaté par la Direction départementale des territoires traque la bête sauvage pour l'abattre.
Vous pouvez consulter l'ensemble de la discussion Facebook ci-dessous :
Publié le lundi 10 septembre 2018 à 09h17