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Les sangliers sont de trop à Besançon!
Après les pigeons qui envahissent le centre ville de Besançon, voilà que les sangliers s'invitent dans les jardins des quartiers périphériques de la ville! Les animaux aiment décidément un peu trop la capitale comtoise...
Les habitants de Bregille, de la Malatte ou des Trois Châtels ont quant à eux beaucoup de mal à cohabiter avec ces hôtes indésirables. Car les sangliers ne sont guère timides, et se servent généreusement dans les jardins et les vergers proches des zones forestières.
La chasse étant interdite à proximité des maisons, les animaux auraient pu continuer à couler des jours heureux. C'était sans compter la municipalité de Besançon, qui a mis en place une battue exceptionnelle pour tenter de réduire la population des sangliers bisontins.
Toute la journée d'hier, 200 chasseurs ont donc investi les fourrés, armés de fusils ou d'arcs. Ils avaient l'autorisation d'abattre une quarantaine de bêtes.
Cette immense battue aux portes de la ville s'est toutefois révélée être "un exercice plus ardu que prévu". Les sangliers "connaissent les passages" et ont rapidement faussé compagnie aux chasseurs!
Ceux-ci se sont toutefois montrés bons joueurs : "ils sont plus intelligents que nous [...], c'est la nature".
Seule une dizaine d'animaux a finalement été tuée, non sans peine d'ailleurs. Cela suffira-t-il à dissuader les survivants de s'approcher des maisons?
Laure Godey
Les habitants de Bregille, de la Malatte ou des Trois Châtels ont quant à eux beaucoup de mal à cohabiter avec ces hôtes indésirables. Car les sangliers ne sont guère timides, et se servent généreusement dans les jardins et les vergers proches des zones forestières.
La chasse étant interdite à proximité des maisons, les animaux auraient pu continuer à couler des jours heureux. C'était sans compter la municipalité de Besançon, qui a mis en place une battue exceptionnelle pour tenter de réduire la population des sangliers bisontins.
Toute la journée d'hier, 200 chasseurs ont donc investi les fourrés, armés de fusils ou d'arcs. Ils avaient l'autorisation d'abattre une quarantaine de bêtes.
Cette immense battue aux portes de la ville s'est toutefois révélée être "un exercice plus ardu que prévu". Les sangliers "connaissent les passages" et ont rapidement faussé compagnie aux chasseurs!
Ceux-ci se sont toutefois montrés bons joueurs : "ils sont plus intelligents que nous [...], c'est la nature".
Seule une dizaine d'animaux a finalement été tuée, non sans peine d'ailleurs. Cela suffira-t-il à dissuader les survivants de s'approcher des maisons?
Laure Godey
Publié le lundi 18 janvier 2010 à 15h12