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Médecin condamné pour "parties de jambes en l'air" à Lure
Un médecin de Lure, en Haute-Saône, vient d'être condamné pour s'être livré à des ébats dans son cabinet avec (entre autres) une de ses patientes (tout à fait consentante par ailleurs).
L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années, a eu une liaison avec une patiente pendant plus de 10 ans. Très libre, le couple se retrouvait fréquemment, dans le cabinet du médecin ou ailleurs, pour s'y livrer à toutes sortes d'activités : simples ébats, parfois à deux mais souvent à plusieurs, pratiques sadomasochistes, participation à des sites échangistes...
Le médecin avait également l'habitude de donner des conseils médicaux dans un club libertin.
En octobre 2009, les habitudes coquines du praticien ont été dévoilées par sa patiente, devenue son ex-maîtresse depuis peu. Cette femme portait de très nombreuses accusations envers le médecin, qui niait la plupart des faits.
Le tribunal a eu bien du mal à démêler les fils compliqués de cette affaire, qui tient plus d'une vie privée un peu particulière que d'un véritable délit.
Finalement, les relations sexuelles ayant eu lieu dans le cabinet n'ont pas été retenues comme accusations, puisque rien ne prouve "qu'elles aient eu lieu dans le temps de consultations".
En revanche, la justice a reproché au médecin d'avoir fait connaître sa profession dans le club libertin qu'il fréquentait. Ce que le praticien a expliqué par "la nécessité de donner des conseils prophylactiques".
Le médecin a finalement été condamné à une interdiction d'exercer la médecine pour une durée d'un an, dont six mois avec sursis. Il n'a pas souhaité faire appel, la sanction a donc pris effet au 1er janvier 2011.
R. Hingray
L'homme, âgé d'une cinquantaine d'années, a eu une liaison avec une patiente pendant plus de 10 ans. Très libre, le couple se retrouvait fréquemment, dans le cabinet du médecin ou ailleurs, pour s'y livrer à toutes sortes d'activités : simples ébats, parfois à deux mais souvent à plusieurs, pratiques sadomasochistes, participation à des sites échangistes...
Le médecin avait également l'habitude de donner des conseils médicaux dans un club libertin.
En octobre 2009, les habitudes coquines du praticien ont été dévoilées par sa patiente, devenue son ex-maîtresse depuis peu. Cette femme portait de très nombreuses accusations envers le médecin, qui niait la plupart des faits.
Le tribunal a eu bien du mal à démêler les fils compliqués de cette affaire, qui tient plus d'une vie privée un peu particulière que d'un véritable délit.
Finalement, les relations sexuelles ayant eu lieu dans le cabinet n'ont pas été retenues comme accusations, puisque rien ne prouve "qu'elles aient eu lieu dans le temps de consultations".
En revanche, la justice a reproché au médecin d'avoir fait connaître sa profession dans le club libertin qu'il fréquentait. Ce que le praticien a expliqué par "la nécessité de donner des conseils prophylactiques".
Le médecin a finalement été condamné à une interdiction d'exercer la médecine pour une durée d'un an, dont six mois avec sursis. Il n'a pas souhaité faire appel, la sanction a donc pris effet au 1er janvier 2011.
R. Hingray
Publié le mardi 25 janvier 2011 à 09h45