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Doubs : On n'y croyait plus
Alors que cela faisait un bon moment qu'ils semblaient brasser du vent dans cette sombre affaire d'agressions, les gendarmes du Doubs auraient enfin réussi à faire avancer le schmilblick.
« Auraient » ? Oui. Car l'information étant datée d'hier, on n'est jamais sûr de rien ! D'autant moins qu'il est donc question ici de l'interpellation supposée d'un homme... soupçonné d'être impliqué dans la série de dégradations visant depuis le début d'année les cabines radars du département. Après trois mois et une vingtaine de victimes aveuglées impunément, vous avouerez en effet qu'il y a de quoi être sceptique !
Mais enfin bon, pour avoir été déféré dès ce mardi au parquet de Besançon, il semble bien que cet individu soit réellement de chair et d'os. Agé de 34 ans et originaire de Morteau, il aura d'ailleurs reconnu les accusations qui pesaient sur lui, en revendiquant même l'attaque de quatre radars (dont un dans le Jura). Un acte symbolique de contestation vis-à-vis du gouvernement, comme l'aura du reste expliqué cet ancien travailleur frontalier aujourd'hui au chômage... et placé sous contrôle judiciaire dans l'attente de son procès.
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« Auraient » ? Oui. Car l'information étant datée d'hier, on n'est jamais sûr de rien ! D'autant moins qu'il est donc question ici de l'interpellation supposée d'un homme... soupçonné d'être impliqué dans la série de dégradations visant depuis le début d'année les cabines radars du département. Après trois mois et une vingtaine de victimes aveuglées impunément, vous avouerez en effet qu'il y a de quoi être sceptique !
Mais enfin bon, pour avoir été déféré dès ce mardi au parquet de Besançon, il semble bien que cet individu soit réellement de chair et d'os. Agé de 34 ans et originaire de Morteau, il aura d'ailleurs reconnu les accusations qui pesaient sur lui, en revendiquant même l'attaque de quatre radars (dont un dans le Jura). Un acte symbolique de contestation vis-à-vis du gouvernement, comme l'aura du reste expliqué cet ancien travailleur frontalier aujourd'hui au chômage... et placé sous contrôle judiciaire dans l'attente de son procès.
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Publié le mercredi 2 avril 2014 à 11h37