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Doubs : Sans honte aucune
Des femmes sans foi ni loi, on en compte en moins grand nombre que leurs homologues masculins. Mais quand elles s'y mettent, on peut vous dire qu'elles ne font pas les choses à moitié ! Le dernier exemple connu étant celui d'une quadragénaire doubienne qui sera allée jusqu'à s'inventer un cancer des intestins pour escroquer la famille d'une voisine et amie qui « la considérai[t] comme [s]a sœur ». Il fallait oser !
Prétextant avoir besoin d'argent pour se faire soigner, elle aura ainsi plumé de toutes ses économies cette connaissance des plus dévouées… avant donc d'élaborer un second mensonge pour en faire de même avec la sœur (handicapée) et la mère de celle-ci.
Sachant en effet que la vieille dame était peinée de ne pas voir très souvent ses petits-enfants suite au divorce de sa fille, notre malade imaginaire se sera proposé de mener une action en justice, dont les fictifs frais d'avocat lui seront directement tombés dans la poche jusqu'au dernier centime, obligeant très vite mère et filles, dépouillées au total de 67 885 €, à vivre ensemble et sans électricité chez la première victime… qui finira par commettre une tentative de suicide.
"Somme toute" interpellée, la crapule sans antécédents judiciaires était convoquée la semaine dernière devant la justice bisontine. Laquelle a déploré son absence à l'audience… mais sans trop lui en tenir rigueur ; seulement 10 mois de prison avec sursis ayant été requis à son encontre, en plus de l'obligation de rembourser sa dette.
L'accusée sera fixée sur son sort le 20 mai prochain.
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Prétextant avoir besoin d'argent pour se faire soigner, elle aura ainsi plumé de toutes ses économies cette connaissance des plus dévouées… avant donc d'élaborer un second mensonge pour en faire de même avec la sœur (handicapée) et la mère de celle-ci.
Sachant en effet que la vieille dame était peinée de ne pas voir très souvent ses petits-enfants suite au divorce de sa fille, notre malade imaginaire se sera proposé de mener une action en justice, dont les fictifs frais d'avocat lui seront directement tombés dans la poche jusqu'au dernier centime, obligeant très vite mère et filles, dépouillées au total de 67 885 €, à vivre ensemble et sans électricité chez la première victime… qui finira par commettre une tentative de suicide.
"Somme toute" interpellée, la crapule sans antécédents judiciaires était convoquée la semaine dernière devant la justice bisontine. Laquelle a déploré son absence à l'audience… mais sans trop lui en tenir rigueur ; seulement 10 mois de prison avec sursis ayant été requis à son encontre, en plus de l'obligation de rembourser sa dette.
L'accusée sera fixée sur son sort le 20 mai prochain.
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Publié le jeudi 7 mai 2015 à 14h02