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Sordide histoire d'amour à Besançon
Un jeune père de famille a été condamné hier à Besançon pour avoir eu des relations sexuelles tarifées avec une jeune toxicomane mineure.
L'accusé, âgé de 24 ans, marié et père de famille, était tombé amoureux d'une jeune fille de 17 ans qui se refusait à lui. Ignorant son âge mais sachant qu'elle était dans une situation financière difficile (sa mère était internée, elle-même consommait des drogues dures), l'homme a proposé à l'adolescente une rémunération contre quelques rapports sexuels.
Après une dizaine de rencontres payées 40 à 60 euros, l'amoureux transi est devenu très insistant. La jeune fille ne voulant plus le voir, il l'a harcelée au téléphone. Effrayée par ce comportement, elle a fini par porter plainte.
L'homme affirme avoir aimé la jeune fille et reconnaît avoir fait une erreur en rémunérant ses "services".
Or les centaines de messages qu'il lui a envoyé montrent qu'il considérait plutôt sa partenaire comme "un objet sexuel". L'adolescente étant un peu paumée, perturbée par un viol quant elle était enfant, il est probable que l'accusé ait profité de sa fragilité.
Dans tous les cas, les relations sexuelles tarifées sont interdites, et encore plus répréhensibles en cas de partenaire mineure. Le jeune homme a donc été condamné à 6 mois de prison et au port d'un bracelet électronique.
R. Hingray
L'accusé, âgé de 24 ans, marié et père de famille, était tombé amoureux d'une jeune fille de 17 ans qui se refusait à lui. Ignorant son âge mais sachant qu'elle était dans une situation financière difficile (sa mère était internée, elle-même consommait des drogues dures), l'homme a proposé à l'adolescente une rémunération contre quelques rapports sexuels.
Après une dizaine de rencontres payées 40 à 60 euros, l'amoureux transi est devenu très insistant. La jeune fille ne voulant plus le voir, il l'a harcelée au téléphone. Effrayée par ce comportement, elle a fini par porter plainte.
L'homme affirme avoir aimé la jeune fille et reconnaît avoir fait une erreur en rémunérant ses "services".
Or les centaines de messages qu'il lui a envoyé montrent qu'il considérait plutôt sa partenaire comme "un objet sexuel". L'adolescente étant un peu paumée, perturbée par un viol quant elle était enfant, il est probable que l'accusé ait profité de sa fragilité.
Dans tous les cas, les relations sexuelles tarifées sont interdites, et encore plus répréhensibles en cas de partenaire mineure. Le jeune homme a donc été condamné à 6 mois de prison et au port d'un bracelet électronique.
R. Hingray
Publié le jeudi 3 mars 2011 à 15h45