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Belfort : un oubli qui coûte cher
Dans son dernier numéro du vendredi 21 mars, le magazine Auto Plus dressait son classement des villes où le prix du stationnement a le plus augmenté depuis 2008. Ainsi apprenait-on notamment que pour son deuxième mandat, Jean-Louis Fousseret avait eu la main légère à Besançon, où, à l'inverse des tickets et abonnements de bus, le tarif des parkings payants aurait donc connu une inflation raisonnable de seulement 10 à 20 centimes en 6 ans, pour atteindre aujourd'hui les 1,20 euros de l'heure.
Sans compter que la première est par ailleurs offerte, il y a en effet bien pire ailleurs ! Comme par exemple à Belfort, où même les places gratuites peuvent parfois coûter bonbon...
Le 10 mars dernier, c'est ce qu'une automobiliste a en tout cas appris à ses dépens. Garée comme à son habitude sur la zone sans parcmètre d'un parking du proche centre-ville pour aller travailler, elle aura dû s'acquitter exceptionnellement ce jour-là d'un paiement de… 121 euros (et 20 centimes).
Gênés dans des travaux d'élagage, ce sont des agents municipaux qui lui auront réservé cette curieuse surprise. Et c'est bien là le problème ! Car quand la réglementation exige d'ordinaire que toute interdiction de stationnement soit signalée la veille des travaux (au plus tard), l'intéressée n'avait trouvé aucun panneau à son emplacement, le matin même de son arrivée.
Mais bien qu'étant dans son bon droit, c'est donc bien à la fourrière qu'elle aura dû récupérer sa voiture en l'échange de cette rondelette somme… en outre revalorisée récemment d'une amende de 35 € pour son "stationnement gênant".
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Sans compter que la première est par ailleurs offerte, il y a en effet bien pire ailleurs ! Comme par exemple à Belfort, où même les places gratuites peuvent parfois coûter bonbon...
Le 10 mars dernier, c'est ce qu'une automobiliste a en tout cas appris à ses dépens. Garée comme à son habitude sur la zone sans parcmètre d'un parking du proche centre-ville pour aller travailler, elle aura dû s'acquitter exceptionnellement ce jour-là d'un paiement de… 121 euros (et 20 centimes).
Gênés dans des travaux d'élagage, ce sont des agents municipaux qui lui auront réservé cette curieuse surprise. Et c'est bien là le problème ! Car quand la réglementation exige d'ordinaire que toute interdiction de stationnement soit signalée la veille des travaux (au plus tard), l'intéressée n'avait trouvé aucun panneau à son emplacement, le matin même de son arrivée.
Mais bien qu'étant dans son bon droit, c'est donc bien à la fourrière qu'elle aura dû récupérer sa voiture en l'échange de cette rondelette somme… en outre revalorisée récemment d'une amende de 35 € pour son "stationnement gênant".
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Publié le lundi 24 mars 2014 à 18h47